La mission officielle

Né d’un désir de voir le milieu trad montréalais se rassembler et s’organiser au-delà de ses clochers, le Labo Trad aide à la promotion, la transmission et le développement du Trad sous toutes ses formes à Montréal.

On y cultive la richesse et la diversité des points de vue liés au milieu traditionnel québécois en ouvrant son espace aux autres artistes et penseurs curieux qui tissent des liens entre le trad et les autres scènes artistiques québécoises.

Le Labo Trad se veut une fenêtre sur les richesses des différentes régions du Québec, sur les multiples disciplines des arts traditionnels et sur les différentes générations d’artistes ou d’amateurs du trad.

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Plusieurs personnes ont mis l’épaule à la roue depuis les débuts du Labo Trad à la Bastringue à la version actuelle à la Petite Marche. Je tiens à souligner ici leur contribution à un moment ou a un autre.

Phase Bastringue

Guillaume Turcotte en a été un maillon important en assurant l’accompagnement du jam qui finissait aux petites heures, souvent dans la chanson… et la bière.

Sans animateurs officiels, un groupe de leadership a émergé naturellement avec Gabrielle Létourneau, Anne-Marie Leclerc et Stéphanie Lessard-Bérubé. Je me rappelle la fierté de voir l’énergie différente où l’esprit de coq était beaucoup moins important et où l’espace était naturellement ouvert.

Phase Petite Marche

La Bastringue a fermé ses portes et le Labo Trad a déménagé à la Petite Marche. Je me souviens d’avoir formé un comité et d’avoir visiter une douzaine d’établissements à Montréal avant de m’entendre avec Abdel Mourani et Gigi L’Oranger de la Petite Marche.

Le Labo Trad s’y est ancré rapidement. Mon grand ami et partenaire Benjamin T. Carpentier et moi avons tenu le fort jusqu’à la pandémie avec l’aide d’Olivier Arseneault au graphisme et de Gabrielle Létourneau, presque toujours présente pour leader le jam ou passer le chapeau des artistes. Daniel Capeille est également venu nous aider en faisant le son certains soirs.